Escapade dans Paris (Libre)
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Escapade dans Paris (Libre)
La nuit était tombée depuis plusieurs heures déjà, mais on pouvait entendre les bruits lointains des pas du professeur Idir qui se baladait dans la ville de lumière, éclairé seulement par une pleine lune particulièrement belle. Il avait pris l'habitude de sortir se promener la nuit, préférant le calme de la ville à sa foule permanente. La solitude était selon lui un merveilleux cadeau du ciel, et il fallait savoir en jouir quand il le fallait. Parfois, le professeur croisait un sans abris, tremblant de froid et des yeux dans lesquels on pouvait lire la tristesse comme dans un livre ouvert. La société moldu était faite de sorte qu'il fallait réussir ou mourir. Ceux qui se retrouvait sans adresse n'avait pas la possibilité d'avancer dans la vie et beaucoup d'entre eux mourraient. Ainsi depuis des années, des mages noirs enrôlent ces gens dans leurs rangs, d'autres s'en servent comme cobaye et assouvissent leurs noirs désirs les plus secrets. Le professeur Idir avait à cœur de traquer ces mages noirs n'ayant aucune pitié pour les moldus affaiblis.
Il était à présent prêt de deux heures du matin quand le professeur tourna sur sa gauche pour explorer une vieille ruelle silencieuse. Il avançait paisiblement dans le noir sans se douter que quelqu'un l'avait vu et s'apprêtait à l'interrompre dans sa tranquille balade nocturne.
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Re: Escapade dans Paris (Libre)
Paris la nuit. Une chose que tout être humain normalement constitué devait faire l’expérience au moins une fois dans sa courte vie. L’humidité ambiante était fort agréable à cette heure avancée.
Quelque passant flânée dans les rue voisine, les amoureux se bécoté sous un lampadaire. Bref rien de bien intéressant. L’homme avançait les mains dans les poches, au hasard des rues. Évitant une flaque d’eau ca et là de provenance inconnue, cela faisait des jours qu’il n’avait pas plut.
Il regarda ca montre, 01h59. Tien, il est tard. Des bruit de pas lui faire lever la tête. Un homme approchait, il avait l’air d’avoir la même motivation que lui-même. Juste envie de sortir prendre l’air. Il décida de se montrer aimable, adviendra ce que Dieu veut !
« Bonsoir. Vous aussi vous avez besoin d’air ? »
Quelque passant flânée dans les rue voisine, les amoureux se bécoté sous un lampadaire. Bref rien de bien intéressant. L’homme avançait les mains dans les poches, au hasard des rues. Évitant une flaque d’eau ca et là de provenance inconnue, cela faisait des jours qu’il n’avait pas plut.
Il regarda ca montre, 01h59. Tien, il est tard. Des bruit de pas lui faire lever la tête. Un homme approchait, il avait l’air d’avoir la même motivation que lui-même. Juste envie de sortir prendre l’air. Il décida de se montrer aimable, adviendra ce que Dieu veut !
« Bonsoir. Vous aussi vous avez besoin d’air ? »
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Re: Escapade dans Paris (Libre)
Il était prêt de deux heures du matin lorsqu'un homme adressa la parole à Kahil. Celui-ci se retourna et fit face à l'homme en question, son visage lui était familier mais il n'arrivait pas à mettre le doigt sur qui il était. Il abandonna donc sa recherche impossible dans les fins fonds de sa mémoire et pris la parole.
'Bonsoir. Oui besoin d'air est l'expression. J'aime beaucoup Paris la nuit. C'est presque une passion.'
L'homme paraissait aimable et surtout dans la même optique que lui. Mais il n'était pas rassuré d'être seul dans la nuit avec un homme dont il ne connaissait même pas l'identité. Tout ce qu'il savait était que lui aussi avait besoin de prendre l'air.
'Bonsoir. Oui besoin d'air est l'expression. J'aime beaucoup Paris la nuit. C'est presque une passion.'
L'homme paraissait aimable et surtout dans la même optique que lui. Mais il n'était pas rassuré d'être seul dans la nuit avec un homme dont il ne connaissait même pas l'identité. Tout ce qu'il savait était que lui aussi avait besoin de prendre l'air.
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Re: Escapade dans Paris (Libre)
Darnatus s’avança un peu plus vers l’homme. Une chose est sur, il ne se présenterait pas. S’il était assez futé son interlocuteur devinerait bien assez tôt qui il était. Mais cela n’avait aucune importance. Pour l’instant il avait juste envie de parler et marcher.
« Une passion que je partage. C’est une ville magique sous plus d’un aspect. Et surtout l’on y rencontre des personnes intéressantes. »
En observant bien l’homme qui lui faisait face, il se rendit compte qu’il le connaissait. Il l’avait vue dans la gazette il n’y avait pas longtemps de ca. Qu’avait t il était dit a son sujet déjà ? Ah oui !
Oui, c’est bien ça, ce gars était le fameux nouveau professeur. Que faisait-il dehors par une heure pareille !
« Il me semble vous reconnaître. Ne seriez vous pas professeur de l’académie ? »
Il ne disait rien de compromettant à l’homme, s’il s’agissait d’un simple moldue, ce dernier ne se douterait de rien.
« Une passion que je partage. C’est une ville magique sous plus d’un aspect. Et surtout l’on y rencontre des personnes intéressantes. »
En observant bien l’homme qui lui faisait face, il se rendit compte qu’il le connaissait. Il l’avait vue dans la gazette il n’y avait pas longtemps de ca. Qu’avait t il était dit a son sujet déjà ? Ah oui !
L’actuel Co directrice, Mélusine Calaelen, vient de nous informer qu’un nouveau professeur de soin aux créatures magique venait d’être recruter. Il s’agirait de Mr Kahil Idir. […]
Oui, c’est bien ça, ce gars était le fameux nouveau professeur. Que faisait-il dehors par une heure pareille !
« Il me semble vous reconnaître. Ne seriez vous pas professeur de l’académie ? »
Il ne disait rien de compromettant à l’homme, s’il s’agissait d’un simple moldue, ce dernier ne se douterait de rien.
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Re: Escapade dans Paris (Libre)
L'homme qui se tenait face à Kahil l'avait visiblement mais lui n'arrivait pas à mettre de nom sur ce visage. Bref, il ne se sentait pas en danger et il décida donc de lui répondre par la simple vérité.
'Tout à fait... Mais comment le savez-vous?'
L'homme n'était sans doute pas un moldu, ou alors il parlait d'une autre académie que celle de Beauxbatons. Peu importe, Kahil saurait rester discret quand à sa vraie nature, sorcier. La ville était vraiment très calme ce soir et le professeur commençait à sentir la brise nocturne l'envahir.
'Tout à fait... Mais comment le savez-vous?'
L'homme n'était sans doute pas un moldu, ou alors il parlait d'une autre académie que celle de Beauxbatons. Peu importe, Kahil saurait rester discret quand à sa vraie nature, sorcier. La ville était vraiment très calme ce soir et le professeur commençait à sentir la brise nocturne l'envahir.
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Re: Escapade dans Paris (Libre)
L’homme acquiesça à sa demande, il était professeur de l’académy Beauxbatons. Cela pouvait donc être vraiment intéressant. Il se dirigea doucement ver un mur où il s’adossa, le froid du matériau fut atténué pas sa cape.
« Je pense à une chose, si vous êtes professeur, vous travaillais donc pour Mélusine ? »
La question lui avais échappé involontairement. Il espéré que cela n’avait pas mit la puce à l’oreille d’Idir. Il voulait tellement avoir des nouvelles de la jeune femme qu’il c’était montré très imprudent. Il se demandait à présent comment aller finir cet entretient.
[HJ: désolé pour l'attente! ]
« Je pense à une chose, si vous êtes professeur, vous travaillais donc pour Mélusine ? »
La question lui avais échappé involontairement. Il espéré que cela n’avait pas mit la puce à l’oreille d’Idir. Il voulait tellement avoir des nouvelles de la jeune femme qu’il c’était montré très imprudent. Il se demandait à présent comment aller finir cet entretient.
[HJ: désolé pour l'attente! ]
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Re: Escapade dans Paris (Libre)
A la question de cet étranger, Kahil ne put retenir un sursaut de surprise.
'Vous êtes visiblement très bien informé... En effet je travaille désormais pour mademoiselle Calaelen. Mais je suppose que vous la connaissez mieux que moi, je ne connais personne qui l'appelle par son prénom si ce n'est le professeur Rettop.'
Kahil observait le visage de l'homme sans jamais arrivé à déceler quelque chose qui puisse lui permettre de le reconnaitre.
'Je me trompes peut être naturellement.'
'Vous êtes visiblement très bien informé... En effet je travaille désormais pour mademoiselle Calaelen. Mais je suppose que vous la connaissez mieux que moi, je ne connais personne qui l'appelle par son prénom si ce n'est le professeur Rettop.'
Kahil observait le visage de l'homme sans jamais arrivé à déceler quelque chose qui puisse lui permettre de le reconnaitre.
'Je me trompes peut être naturellement.'
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Re: Escapade dans Paris (Libre)
Il écouta Idir attentivement, au vue du ton qu’il employait il devait se douter de quelque chose.
« Vous vous tromper effectivement, en plus de ce simulacre de prof, Romulus appelle Mélusine par son prénom, de même que moi. Bien que je vous avouerais que ce ne soit pas un privilège qu’elle accorde facilement. »
Il se déplaça pour ce dégourdir les jambes et passa sans y prendre garde sous un lampadaire, un des rare de la rue. Le remarquant il se remis dans l’ombre.
« Vous vous tromper effectivement, en plus de ce simulacre de prof, Romulus appelle Mélusine par son prénom, de même que moi. Bien que je vous avouerais que ce ne soit pas un privilège qu’elle accorde facilement. »
Il se déplaça pour ce dégourdir les jambes et passa sans y prendre garde sous un lampadaire, un des rare de la rue. Le remarquant il se remis dans l’ombre.
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Re: Escapade dans Paris (Libre)
Kahil regardait attentivement l'homme qui se trouvait à ses cotés.
"Vous semblez ne pas beaucoup aimer monsieur Black..."
Le professeur n'avait jamais eut vraiment l'occasion de rencontrer en personne l'ancien directeur. Mais il savait de rumeur que c'était quelqu'un de froid qui avait été blessé par le passé. Et ce n'était pas de blessure physique dont on lui avait parler. Pour ce qui était de mademoiselle Calaelen, il était vrai que très peu de personnes se permettaient de l'appeler par son prénom. Et d'ailleurs, Kahil n'y avait jamais vraiment pensé. Elle imposait indirectement un respect que personne n'aurait sut expliquer. Quoi qu'il en soit, tout ceci ne lui disait toujours pas qui était cet homme, mais le professeur avait cessé d'y penser et c'était résolu à se dire qu'il ne le saurait peut être jamais. Après tout, ils étaient la, tous les deux, a discuter tranquillement dans les rues sombres de Paris et cela lui convenait.
"Vous semblez ne pas beaucoup aimer monsieur Black..."
Le professeur n'avait jamais eut vraiment l'occasion de rencontrer en personne l'ancien directeur. Mais il savait de rumeur que c'était quelqu'un de froid qui avait été blessé par le passé. Et ce n'était pas de blessure physique dont on lui avait parler. Pour ce qui était de mademoiselle Calaelen, il était vrai que très peu de personnes se permettaient de l'appeler par son prénom. Et d'ailleurs, Kahil n'y avait jamais vraiment pensé. Elle imposait indirectement un respect que personne n'aurait sut expliquer. Quoi qu'il en soit, tout ceci ne lui disait toujours pas qui était cet homme, mais le professeur avait cessé d'y penser et c'était résolu à se dire qu'il ne le saurait peut être jamais. Après tout, ils étaient la, tous les deux, a discuter tranquillement dans les rues sombres de Paris et cela lui convenait.
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Re: Escapade dans Paris (Libre)
Darnatus, marqua une pause. Idir venait de passer sur un point délicat. Rom Black.
« Non, en effet. Je n’apprécie guère cet homme. Bien que ce ne fut pas toujours le cas… »
Il se déplaça pour aller s’appuyer contre un mur. La fraicheur humide lui permis de lui éclaircir les idées. Il s’était un moment égaré dans ses souvenirs. Egaré dans une nuit sombre, près des pyramide, dans une chambre humide, avec Rom et… Soudain il se reprit.
« Sinon, elle vous plait la femme la plus puissante de l’académie ? »
Il souriait, attendant, curieux, la réponse de cet homme. La nuit ne commencait à peine.
« Non, en effet. Je n’apprécie guère cet homme. Bien que ce ne fut pas toujours le cas… »
Il se déplaça pour aller s’appuyer contre un mur. La fraicheur humide lui permis de lui éclaircir les idées. Il s’était un moment égaré dans ses souvenirs. Egaré dans une nuit sombre, près des pyramide, dans une chambre humide, avec Rom et… Soudain il se reprit.
« Sinon, elle vous plait la femme la plus puissante de l’académie ? »
Il souriait, attendant, curieux, la réponse de cet homme. La nuit ne commencait à peine.
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