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Message par Invité Sam 20 Déc - 23:49

Voila, j'aime les trucs noirs voir trés noirs, donc si vous voulez les liren voilà ce que j'écris (ce sont des nouvelles et la dernière n'est pas finit) :

Histoire noires d’un vendredi soir

Seule
Une femme et un homme riaient seule dans un parc pleins de fleurs et d’herbes. Il se jetèrent dans l’eau du lac sans cesser de rire. Elle était belle avec ses longs cheveux blonds et lui autant avec ses magnifiques cheveux noirs. Elle l’arrosa avec de l’eau et partit en courant. Il l’a poursuivie, encore trempé. Mais quand il la trouva, elle était debout et immobile. L’homme s’approcha et fixa ce qu’elle regardait. C’était un enfant. Il ne devait pas avoir plus de cinq ou six ans. Châtain clair aux yeux bleus. Il ne cessait de jeter des regards à l’endroit où devaient normalement se trouver la femme et l’homme. L’homme sourit et dit d’une voie grave en essuyant les larmes de la femme :
-Marie, il est heureux, regarde-le.
La femme se retourna vers l’homme et lui dit en souriant :
-Oui tu as raison, ce couple s’occupe très bien de lui. Mais c’est toujours triste de le regarder.
-Oui tu as raison et je sais aussi que tu souffrais quand tu était encore là-bas.
La femme lui jeta un regard vague et lui dit doucement comme si elle se rappelait :
-Tu te souviens : Quand j’étais entrée dans le hall de l’hôpital, il était bondé de monde. Après dans la salle d’attente de chirurgie j’étais seule. Mais je savais que même si d’autres personnes étaient avec moi, au fond je serai toujours seule. J’étais à mon travail quand le coup de téléphone fatidique avait retentit. Je me souviens encore de l’air grave de la secrétaire quand elle me tendit le téléphone. J’appris alors que tu avais eu un terrible accident de voiture. Ton Opel est allée se fracasser contre un camion sur l’autoroute . D’après ce que l’on m’a dit, ta tête a heurtée le volant et est allée se fracasser contre le pare-brise. Le chauffeur de camion n’a eu ,lui, que le nez cassé. On m’a dit aussi que dans la salle de réanimation, tu ne t’étais réveillé qu’une seule fois pour crier mon nom .Je me souviens qu’une boule me montait à la gorge. Nous nous connaissions depuis nos seize ans. Je me suis alors demandé ce que serait alors la vie sans toi ? La porte blanche de la salle de chirurgie s’ouvrit et le chirurgien s’approcha de moi. Je lui lançais un regard suppliant. Il ne dit rien et ce fut pour moi la pire des réponses. Je m’écroulais par terre et on me conduisit aussitôt dans la même salle de réanimation que toi et sur le même lit. Je mis mon nez dans les couvertures en essayant de retrouver ton odeur. J’entendais au loin, les infirmières qui parlaient. Elles s’inquiétaient pour mon état et celui du bébé. J’accouchai trois jours plus tard mais je n’avais plus la force de lutter.
L’homme lui caressa les cheveux.
-Ne te blâmes pas Marie, je sais que tu ne lui aurais pas donné tout ton amour si tu l’avais élevé.
-Oui je le reconnais. Il y aurait toujours une grande partie de moi qui te pleurerait. Ce ne serait pas ton cas ? demanda -t’elle alors d’une voie soupçonneuse .
L’homme rit et la femme fit semblant de le taper et lui partit en courant pendant qu’elle le poursuivait.
Pendant ce temps l’enfant jeta un dernier regard à l’endroit où était les deux personnes.
-Qui a- t’il chéri ? demanda une femme à l’enfant.
-Rien j’ai cru qu’ils étaient là …
-Ils sont morts mon chéri, cesse de pensé qu’ils reviendront. Allé on rentre, j’ai fait tes crêpes préférées !
Le petit bondit de joie et la femme et l’enfant courut vers la maison en se tenant la main .


Restons amis




La sonnerie retentit. Un homme d’une trentaine d’années alla ouvrir. Sur le seuil, une jeune femme d’une beauté éblouissante attendait. Elle était visiblement très inquiète car elle ne cessait de jeter des regards furtifs derrière elle. Quand elle vit l’homme, elle lança un soupir de soulagement et dit d’une voix pressée : « -J’ai fait aussi vite que j’ai pu ! J’ai tellement peur d’être toute seule depuis que l’assassin est en ville ! » L’homme ne dit rien et la fit simplement rentrer. Puis il se dirigea vers la cuisine, laissant la femme seule dans l’entrée. Elle devait visiblement être habituée à venir car elle accrocha son manteau dans le placard et s’installa dans un des fauteuils du salon. L’homme revint quelque minutes après, deux grands verres de vins à la main et s’assit en face d’elle puis il dit d’une voix grave : « -Tu sais que tu n’est pas la seule femme en ville, il ne s’attaquera pas forcement à toi. » La femme but une gorgée de vin et esquissa un sourire. Puis elle sortit son portable de sa poche et le lui tendit. L’homme le prit et regarda longuement les photos qu’elle avait sélectionnées. Elles représentaient toutes un homme en anorak noir, un chapeau enfoncé jusqu’aux épaules dont on ne pouvait voir le visage. « -Et, Lucie ? » interrogea l’homme. La dénommée Lucie éclata d’un rire peu rassurant et dit avec énervement : « -Je reconnais bien là ta naïveté, Pierre. Cet homme est devant chez moi tous les soirs. Il me suit partout : à mon travail, à la bibliothèque ...
- Et pourquoi pas jusqu’ici ? coupa Pierre.
- Je ne sais pas, il a peut-être peur de toi. répondit Lucie en haussant les épaules. » L’homme se leva et se mit à regarder dehors. Puis il dit sans se retourner : « -Tu n’as pas prévenu ton petit Julien ? » Lucie lui lança un regard triste. « -Tu dois arrêter de détester tous les hommes avec qui je sors ! Nous deux c’est du passé ! dit-elle. » Pierre se raidit puis se retourna vers elle, une lueur folle dans son regard.
« C’était ta dernière chance ma belle ! Je t’ai laissé sortir avec qui tu voulais, et moi aussi, mais quand tu m’as re-contacté en me disant que l’on pouvait être amis, je l’ai très mal pris ! Je les ai toutes tués ! Toutes ! Toutes celles qui m’ont laissé tomber et ce soir c’est ton tour ! » Il sortit un couteau de sa poche et, sans que Lucie ait pu faire le moindre mouvement, il lui enfonça dans le cœur. Elle s’écroula par terre. Puis il dit en essuyant son couteau plein de sang : « -L’amitié n’est pas possible entre un homme et une femme ».














Ouvre la porte
Je dormais , ma femme à mes côtés quand la sonnette retentit. Il devait être sur les coups de trois heures du matin. La sonnerie nous réveilla moi et ma femme en sursauts.
-Qu’est-ce que c’est ? demanda ma femme.
-La sonnette chérie .répondis-je.
-Mais qui cela peut-il bien être à cette heure là ? Tu crois que ça pourrait être des cambrioleurs ?ajouta-elle avec angoisse.
-Qui se ferait le plaisir de sonner à la porte pour nous réveiller ? Je ne crois pas .
Puis je me recouchais . Je sentis que ma femme ne s’étais pas ré-allongée . Qu’importe pour elle, moi je dors ! Au bout de cinq minutes ma femme se leva et s’approcha de la fenêtre.
-Henri, tout cela me fait peur. Peux-tu aller voir ?
Je me levais d’un bon et dis d’une voie forte :
-Tu n’as qu’as y aller toi même !
-Mais pourquoi …
-La flegme chérie, la flegme !
Et je me rendormis pour de bon. Ma femme du faire de même car quand je me réveillais, elle dormais . Je me levais et me préparais. Puis en partant au travail, je faillis dire au revoir à mon fils mais un futur homme de seize ans déteste être réveillé à six heures. Je sortis et ouvris la porte. Je poussais alors un hurlement. Sur le seuil mon fils était allongé et baignait dans son sang. Un mot était posé sur son corps ensanglanté : Tu aurais dû ouvrir la porte.





























Soirée mortelle
Ma mère doit sortir ce soir et moi je suis bien content ! Car je suis payé pour m’occupé du gnome. C’est un vrai petit monstre. Toujours à hurler et faire des caprices. Ma mère qui essaye une nouvelle technique de son magasine : Femme et mère, a décidé qu’il ne fallait en aucun cas forcer le petit . Si seulement ses décisions s’appliquaient aussi sur moi. Tout ce qu’elle a trouvé à me dire quand je lui ai dis ça c’est « Tu as quinze ans, ces techniques ne sont pas pour toi mon chéri. »Oui maman oui mais en attendant le monstre est insupportable. Bon elle sort, depuis que papa nous a quitté, elle ne fait que sortir. Moi je l’ai très bien pris que le vieux parte. Toujours à râler ça fait du bien dans la maison maintenant qu’il n’est plus là. Ma mère est partit en me donnant mes trente euros. J’ai collé le nain devant Oui-Oui et j’ai directe filé devant l’ordi sur mes jeux en ligne. Au bout d’une heure j’ai entendu le petit pleurer, il devait être sur les coups de vingt heure. J’ai réchauffé sa nourriture et je lui ai donné devant le journal. Le journaliste annonça alors qu’un fou s’était échappé d’un asile .Il était en fauteuil roulant est c’était un détenu sous haute surveillance. Il annonça alors qu’il rôderait … dans notre pâté de maison !
-Oh non ! criais-je avec angoisse.
Je me tournais vers le nain et je mis à le regarder . Lui, tout tranquille, s’amusait à mettre de la purée de carottes sur le canapé en cuir noir.
-Tu sais quoi, on va allé faire un gros dodo.
En passant devant la porte d’entrée, je vérifiai le verrou. Ouvert. Je le fermai à doubles tours.
Par sécurité, je mis le petit sous le lit et moi au-dessus.
-Tu comprends, si le fou arrive, il me tuera moi parce que je serai au-dessus .lui expliquai-je.

Le nain me balança son hochet dans la tête en signe de réponse. Je l’installai sous le lit non sans quelques crises mais quand je lui ai expliqué que c’était un nouveau jeu, il s’est installé sous le lit sans jérémiades. Puis moi même, je me suis installé au-dessus sur le lit. Moi qui croyait passer une nuit blanche, je m’endormis aussitôt. Quand je me suis réveillé, je suis tout de suite descendu du lit et j’ai regardé en dessous. La je poussais un hurlement strident. Le petit étais étendu, couvert de sang et égorgé . C’est alors que je remarquai sur le mur une inscription écrite avec du sang : « Je peux aussi ramper ».



















Petite fille
La musique ! Quoi de plus magique sur la route. Cyril était bien d’accord avec moi car il avait mit à fond un tube de « Téléphone ». Ca le prenait de temps en temps, il aimait revenir en arrière et écouter ce dont nos parents étaient fan. La voiture s’engagea dans un petit chemin en bordure de forêt. L’ombre me faisait du bien après avoir passé plusieurs heures au soleil.
« -Ai-je bronzé Cyril ? demande-ai-je en attachant mes longs cheveux noirs.
-Ayant passé plus de deux heures à te dorer au soleil, la question ne se pose même pas ! répondit-il en riant ».
Nous entrâmes dans le bois, les arbres étaient grands et imposants. Ce silence avait quelque chose … d’effrayant. Quand soudain, Cyril freina violemment. Nous sortîmes de la voiture et là je vis ce qui avait fait freiner Cyril. C’était une petite fille. Elle était couverte de sang et ne devait pas avoir plus de huit ans. Nous nous approchâmes en courant. Pendant que je prenais la petite dans mes bras, Cyril alla voir la voiture. Quand je l’entendit jurer, je m’approchais pour voir et j’hurlai à mon tour. Les parents avaient été égorgés. Le sang glissait sur la banquette et tout les deux avaient une expression de peur sur visage.
-« Mais que leur est –t-ils arrivés ? »demanda Cyril en se tournant vers la petite.
Elle ne répondit pas et continua à pleurer en agitant la tête. Je m’approchais d’elle et je la pris dans mes bras.
«--Voyons Cyril ! Regarde là ! Elle est traumatisée, laisse là ! On va t’emmener au commissariat le plus proche. D’accord ma puce ? » ajoute-ai-je pour la petite.
Elle hocha la tête et nous montâmes dans la voiture. Je sentis tout de suite qu’elle était trop choquée pour répondre aux questions aussi je la laissais tranquille. Au bout d’un moment, je vis que la voiture roulait en zigzags sur la route. Je me retournais vers Cyril pour lui poser quelques questions sur sa façons de conduire quand je poussais un hurlement strident. Cyril était égorgé et son sang coulait sur le volant. Je me retournais vers la petite quand je vis qu’elle léchait un couteau plein de sang, une lueur folle dans le regard.



Je me suis inspirée d'histoires d'horreur que j'avais entendu et je les ai tournées à ma sauce !!!bizzz♥
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Mes écrits assez gores -12 ans bye !!! Empty Re: Mes écrits assez gores -12 ans bye !!!

Message par Invité Sam 20 Déc - 23:53

Et la dernière que je n'ai pas pu mettre car elle était trop longue (elle est inachever) :

Ruelle sombre
Le bruit des talons de la femme résonnaient sur le béton de la ruelle. L’adjectif qui irait parfaitement à cet endroit serait « mal-famé » Des emballages de Pizza et des conserves jonchaient le sol et on entendait des cris d’enfants qui résonnaient au loin. Pourtant on pourrait se demander ce que faisait une femme comme elle dans une rue comme celle-ci. Elle était grande, très belle avec ses longs cheveux roux parfaitement lissent qui lui tombaient en cascade sur ses épaules fines. Elle était vêtue d’une longue robe noire fendue sur le côté et d’un petit manteau en fausse fourrure noir. Un grand collier sertit de diamants accroché à son coup permettait de savoir quel statut financier elle avait.
La jeune femme ne cessait pourtant de jeter des regards furtifs derrière elle quand une voie résonna vers une poubelle.
-« C’est pas un endroit pour vous ma petite dame . »
La femme recula et l’homme sortit de la pénombre qui l’entourait. C’était un clochard. Il était vieux, mal-rasé et sentait fortement l’alcool .Il dit d’une voie enrouée par la cigarette :
« -Vous inquiétez pas ma petite dame, je vous ferai pas de mal moi. Mais pas ce qui court les rues. »
La femme se ressaisit vite et dit d’une voix d’une voix chargée de suffisance :
« -Je voies que les nouvelles vont vites. Un meurtre il y a neuf heures à peine et même un hum … sans-abris comme vous est au courant de cette funeste histoire. Pourtant ce n’était qu’un assassinat, sans doute commit par des voyous ou des cambrioleurs . Pas de quoi en faire un drame ! »
Le vieil homme la regarda puis se rassit et dit d’un ton soupçonneux :
« -Alors pourquoi vous ne cessiez de regarder derrière vous ma petite dame ? »
La femme lui lança un regard haineux et ne daigna pas répondre. Le vieux clochard posa une deuxième question :
« -Et que fait une femme comme vous ici ? Si j’avais un conseil à vous donner c’est de pas se balader dans une ruelle sombre avec un collier comme le votre ma petite dame. »
La femme le regarda longuement puis répondit en triturant son collier :
« -Je suis venu voir un … ami. Peut-être le connaissez-vous ? Il s’appelle Pierre Lebrotant.
-Ah pour sur que je le connais ! Tout le monde connaît ici ce … couillon de bourges ! Avec ses grands airs et touts ses bijoux qui font un bruit pas possible et les femmes qui défilent chez lui les unes après les autres ! Et maintenant il a créé un bar. J’avais économisé pendant une semaine pour me payer une bière là-bas mais quand j’ai voulu entrer, ils m’ont flanqués dehors en prenant mon argent ! Soi disant que je n’avais pas la classe pour entrer et que je ruinerai leur image ! Surtout quand on voit ceux qui entre … »
La femme sourit puis dit d’une voie curieuse :
« -Que voulez-vous dire ?
-Eh bien ils sont pas frais … »
La femme le regarda sans comprendre. A son air, il cru bon d’ajouter :
« -Ils fument pas que des roulées en cigarette ou des cigares. Avec les cheveux que vous avez, vous seriez un trésor pour eux et …
-D’accord, d’accord ! J’ai compris ! Bon merci pour la discussion mais je dois partir. Au revoir.
-Euh juste une chose … les temps sont durent surtout pour un clochard ou comme vous dîtes si bien un sans-abris et si vous pouviez … ma petite dame … »
La femme ne prononça pas un mot et sortit de sa poche un porte-monnaie en cuir noir. Elle l’ouvrit et tendit deux billets de cinquante euros. Le clochard les prit et les regarda, ébahit. La femme en partant dit avec amusement :
« -Ah, oui si vous pouviez juste arrêter de m’appeler ma petite dame je serai comblée car cela m’insupporte au plus haut point. Surtout que je vous ai payé assez cher …
-Pour sur j’arrêtes ! Eh merci ! répondit le clochard. »
Puis elle partit sans ce retourner. Elle continua sur une centaine de mètres et arriva à destination . Elle comprit tout de suite que le vieux n’avez pas mentit. Son ami Pierre avait su ,une fois de plus, placer son argent là où ça rapportait. A l’époque il tenait une entreprise de papiers toilettes et c’était une honte pour lui que d’en parler. Son entreprise marchait plutôt bien mais un jour il reçu une énorme somme d’argent ,héritée d’un lointain cousin, qui lui permit d’avoir une vie de luxe et d’abandonner son usine. Elle ne lui avait pas reparlé depuis maintenant prés de cinq ans mais ils s’envoyaient leurs meilleurs vœux et joyeux noël chaque années. Elle se décida à entrer. Elle s’attarda cinq minutes et regarda l’intérieur. Des hommes la plupart éméchés, d’autres sous l’emprise de substances illicites, peuplaient ce bar à l’ambiance caverneuse . Une musique résonnait et certaines personnes ,dont l’état le permettait, dansaient ou plutôt remuaient au rythme de la musique. Elle remarqua plus loin un petit coin où plusieurs tables de deux ou trois places étaient occupées par quelques personnes qui faisaient affaires. A sa gauche un barman servait boissons sur boissons à des types ivres et insatiables . C’est à ce moment là qu’elle remarqua une petite porte, cachée par un rideau de perles, dans un coin prés du comptoir. Elle s’avança, mais se souvenant des recommandations du vieux clochard, détacha son collier qu’elle cacha discrètement dans la doublure de son manteau. Puis elle franchit le pas de la porte. Elle arriva alors dans un bureau où brillait un néon en forme de bouteille de bière. Par terre un tapis était en imitation de fourrure blanche et noire et une grande TV diffusant un feuilleton à l’eau de rose. Un homme dormait sur un fauteuil en face d’un bureau jonché de détritus et papiers en tout genre. C’était Pierre. Elle le reconnut tout de suite malgré les kilos en trop, ses Jeans verts et sa chemise rose. Elle ne prit pas de temps et frappa deux grands coups sur le bureau. L’homme s’éveilla alors en sursauts.
Puis il vit la femme en face de lui. Son visage s’éclaira alors d’un sourire joyeux :
« -Elodie ! Qu’elle merveilleuse surprise que de celle de te voir ! Comme tu as changée !dit-il la serrant dans ses bras. »
La dénommée Elodie ne semblait pas heureuse de cette démonstration de tendresse car elle affichait une mine bougonne. Puis il se rassit en lui désignant un siège de son gros doigt potelé. Elle s’assit, tout en prenant soin d’enlever les miettes de gâteaux sur le fauteuil, puis elle le regarda enfin. Il était en train d’essayer d’enlever les ordures sur son bureau. Jugeant cela impossible vu le tas qu’il aurait à enlever, elle dit avec irritation :
« -Charmant bar que tu as là, Pierre. Et je vois moi aussi que tu as changé. »
Pierre caressa son énorme ventre à travers sa chemise et dit en souriant :
« - Oui mais cette apparence me convient mieux et elle plaît à beaucoup de femme. Et toi ? Te plaît-elle ?ajouta-il une lueur de malice dans le regard. »
Mais Elodie ne sembla pas la remarquer car elle rougit et lui dit alors :
« -Tu ne sais pas pourquoi je suis là, n’est-ce pas ?
-Non mais je sens que je ne vais pas tarder à le savoir …
-Tu dois sans doutes avoir entendue parler du meurtre d’il y a neuf heures ?
-Oui qu’elle histoire …
-J’étais présente ! coupa Elodie. »
Pierre la regarda, effrayé.
-Tu veux dire que c’est toi la coupable ? demanda t’il en tremblant. «
Elodie chassa une mouche invisible pour montrer son agacement.
« -Non, bien sur ! Tu n’as pas changé pour l’intelligence par contre ! »
Pierre ignora la remarque et commença à se curer les ongles. Elodie poursuivit alors devant l’impassibilité de Pierre :
« -Donc, elle m’avait invité à une soirée, nous étions beaucoup et à un moment elle partit chercher des boissons dans sa cave. Personne n’y fit attention mais quand nous vîmes qu’il n’y avait plus de boissons, deux de mes amis descendirent à leur tours en chercher. C’est là qu’il la découvrirent, elle avait été poignardé dans le dos et d’après ce que m’a dit la police, elle aurait succombée à une hémorragie.
Pierre se leva d’un bond :
-La police ? Tu les a amené avec toi ? Je te jure que je n’ai rien fait, j’ai plusieurs alibis en béton et …
-… je ne n’ai pas amenée la police ne t’inquiètes pas. Elle ne sait même pas que je suis là. »
Pierre se rassit, calmé.
Pendant ce temps là, dirigeons-nous vers le commissariat où le commissaire Gilles Hedborn ainsi que la médecin légiste Julie Vontré tiennent une conversation des plus importante :
« -Et personne ne sait ce qu’il lui est arrivée ! J’ai interrogés tous les invités présent au moment du meurtre et aucun n’est susceptible de l’avoir commit. » dit le commandant Hedborn en lissant sa moustache touffue .
Julie qu’en à elle réfléchissait. Rien susceptible de faire avancer l’enquête avec un coup de poignard dans le dos. Bien sur, cela avait entraîné une hémorragie mais vu la position de la blessure, ce n’était pas un sucide. On l’avait donc assassinée.
« -…si encore nous avions un indice mais là, rien ! Et tous les invités ont un alibi ! Tiens par exemple, dit-il en sortant une feuille d’un dossier et en la lisant à haute voie pour Julie :
« -Elodie D’Estranie, italienne et meilleure amie de la victime, elle a un alibi car elle dansait au moment du meurtre avec Alexandre Progosli. Elle …
-Que des italiens ! remarqua Julie.
-Tiens c’est vrai… répondit Gilles, songeur. Et les italiens sont connus pour …
-… se défendre en cas de besoin ! acheva Julie. On a enfin un indice ! «
Tous les deux se regardèrent, un grand sourire aux lèvres quand on toqua à la porte. Sans laisser le temps au commissaire de répondre, un policier entra. Il tenait un papier à la main.
« -Monsieur, il y a une lettre pour vous.
-Lisez la, Defrèvre. répondit le commissaire.
- Monsieur le commissaire Gilles Hedborn, c’est sans doute ma première lettre mais sûrement pas la dernière, en effet c’est moi qui ai commis le meurtre d’Ingrid Voginois le mercredi cinq juillet à vingt-deux heures trente-huit exactement, je suis donc l’ssinssassa . Bien sur je ne préciserais pas qui je suis car je veux que vous soupçonniez tout le monde d’être l’ssinssassa. Je vous souhaite bonne chance dans votre enquête qui risque de ne pas aboutir car je n’ai laissé aucun indice susceptible de vous aidez.
XXX
Ps : Inutile de chercher les ADN, j’ai écrit avec des gants et avec un masque sur ma tête recouvrant mes cheveux. Bonne fin de soirée. »
Mr Hedborn et Julie se regardèrent, les yeux ronds. Ils étaient tout les deux forts étonnés de l’audace du meurtrier. Hedborn fut le premier à se ressaisir et dit d’une voie forte :
« -Faites saisir les empreintes ! Et appeler le psychologue ! »
Le psychologue arriva cinq minutes après l’appel du chef. Ils s’assit sur une chaise et sortit ses lunettes. Puis entreprit de lire silencieusement la lettre du tueur anonyme. Enfin il releva la tête et dit en remontant ses lunettes :
« -Eh bien tout cela est fort intéressant, et je crois avoir trouvé quelque chose …avez-vous remarquez pendant la lecture la faute qu’il y avait ?
-Une simple faute de frappe, voilà tout ! répondit le commissaire en haussant les épaules.
-Qui se serait répétée deux fois de suite ? Non, je ne crois pas. Et surtout ce qui est intéressant c’est qu’a l’envers de mot veut dire : assassin.
-Nous aussi nous avons trouvé quelque chose Henri , deux italiens ça se défend non ? »
Henry le psy la regarda ,incrédule. Elle lui avait toujours plu et il aimait l’observer à la dérobée pendant qu’elle remplissait des pages de détails sur chaque corps dont elle avait fait l’autopsie. Mais jamais il ne lui avouerait ses sentiments, quels qu’ils fussent. Quoi qu’il en soit, il ne comprit pas. Etait-ce peut-être de l’humour ? Ou, et son cœur se mit à battre, une tentative de séduction ? Mais il n’était pas italien et Julie non plus. C’est pour cela qu’il attendit qu’elle lui réponde. Elle finit par le faire :
« -Le commissaire Hedborn a prit au hasard dans la pile de suspect une personne : Mlle Elodie D’Estarnie. Elle avait un bon alibi puisqu’elle dansait. Mais avec qui ? Un certain Alexandre Progosli. Deux italiens. Et deux italiens s’entraident dans les coups durs comme de tuer quelqu'un …Henri vit tout de suite la faille de son idée : Mlle D’Estranie était la meilleure amie de la victime. Mais son idée était bonne pour cet Alexandre. Il essaya de l’expliquer à Julie et Gilles :
« -Très bonne idée ! Mais il y a un léger problème …Mlle D’Estarnie était la meilleure amie de la victime, mais votre idée s’attribue parfaitement à Mr Progosli. Ajouta –t’ il pour ne pas contrarier Julie. Celle-ci semblait réfléchir. Le commissaire Hedborn prit alors la parole en triturant sa moustache :
« -Mon cher ami, comment expliqueriez-vous alors que Mlle D’Estarnie couvre Mr Progosli puisque la vie de sa meilleure amie est en jeu ?
-Peut-être qu’Elodie ne le savait et qu’a un moment, Alexandre lui a dit qu’il devait sortir pour cinq minutes et quand la police la interrogée, elle a répondu qu’ils avaient passé la soirée ensemble en oubliant de compter les cinq minutes où Alexandre était absent …commença Julie.
-…ce qui coûta la vie de Mlle Voginois ! finit le commissaire Hedborn. Mais bien sur ! »
Revenons à notre amie Elodie qui ne sais sûrement pas que l’on parle d’elle en ce moment. Elle repasse par la rue qu’elle a emprunté la première fois. Une ombre apparue devant elle. Elle poussa un hurlement strident. L’ombre dit en rallant :
« -Pourquoi vous criez comme ça ma petite d… mademoiselle ? Je me demandais qui venait mais j’ai tout de suite reconnu le bruit de vos talons, dit le clochard en désignant les chaussures d’Elodie, on me disais souvent que …il s’arrêta car il était seule. A ses pied, il y avait les talons d’Elodie. Celle-ci court comme une folle vers un grand immeuble du 20ème arrondissement. Elle gravit les marches quatre à quatre et arriva devant une porte. Elle sortit des clés de sa poche où pendait un joli porte-clefs acheté sans doute dans une boutique devant la tour-Effeil à un euro …quoi que sans doute plus cher mais revenons à notre sujet, elle rentra dans l’appartement qui devait sans doute être le sien puisque elle balança son manteau sur le canapé en cuir d’une horrible couleur café et s’assit dessus. Elle souffla quelques instants puis se leva pour se servir un vers de vin qui attendait dans une carafe prés de l’entrée. Après s’être servit elle le savoura en mettant le vin sur son palais. Puis elle prit le téléphone et, tout en tenant son vers à la main, elle s’assit sur le canapé et composa un numéro. Puis elle attendit. Quelques secondes après on répondit :
« -Oui ?
-Alexandre ? C’est Elo ! Tu sais ce qui m’ai arrivé ?J’allais chez un ancien ami, tu sais Pierre Lebrochant, eh bien j’ai été accosté par un clochard ! Il disait qu’il avait reconnu mes talons et il semblait vraiment me connaître ! »
Alexandre mit quelque secondes à digérer la nouvelle puis il dit d’une voie inquiète :
« -Un simple clochard sans doute fou. Rien d’important …attends on m’appelle sur ma deuxième ligne …à plus ! »
Et il raccrocha. Elodie, d’abord décontenancée, regarda le téléphone puis ,de rage, elle le balança sur l’autre canapé. En tombant, il sonna.
« -Et il a le culot de rappeler ! Il peut toujours courir pour que je décroche ! » cria Elodie en s’asseyant.
Le répondeur se mit en marche :
« -Mademoiselle D’Estranie, je suis le commissaire Gilles Hedborn et je souhaite vous rencontrer. Pourriez-vous s’il vous plaît vous rendre au commissariat tout de suite ? Merci. »
Elodie regarda le téléphone, apeurée. « Sans doute une simple visite de routine pour le meurtre, pas de quoi en faire un drame. Et de toute façon je n’ai rien à me reprocher ! pensa elle.


Dernière édition par Ambre de la Villardière le Dim 21 Déc - 0:02, édité 1 fois
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Mes écrits assez gores -12 ans bye !!! Empty Re: Mes écrits assez gores -12 ans bye !!!

Message par Invité Sam 20 Déc - 23:54

Et la suite de la uite car le message était trop long :

Elle prit donc ses affaires et sortit. Elle se décida à prendre sa voiture, une magnifique Jaguar noire. Elle roula jusqu’au commissariat, l’esprit dans le vague, klaxonnant de temps en temps, parfois sans raisons et arriva enfin. Elle descendit et reconnue la voiture d’Alex. Sa vieille Volvo bleu, Elodie l’appelait une « ancêtre » mais tout le monde savait qu’elle avait de la valeur et qu’Alex amasserait beaucoup s’il la vendait. Elle entra en prenant la résolution de ne pas lui parler mais elle ne pu résister à ses appels et ses signes et elle alla s’asseoir à ses côtés. Mais passons de l’autre côté de cette pièce où se trouve le commissaire Hedborn, Julie et Henri. Ils interrogeaient les personnes présentes le soir de la fête. Julie chuchota alors :
« -Regardez voilà Elodie D’Estrie avec ce scélérat de Progosli ! Il ne la consolera pas longtemps quand nous le coincerons !
-Pauvre fille quand même …dit Hedborn
-Tu veux peut-être la consoler ? Mais je ne crois pas que son style soit les moustachus ! »ironisa Henri.
Personne ne rigola. Julie regardait Elodie en murmurant « La pauvre quand il faudra qu’on arrête son copain … » et le commissaire Hedborn avait les yeux dans le vague. Ils sursautèrent quand un policier entra.
« -C’est pas lui chef !
-Très bien. Bon faites passer Mademoiselle D’Estranie. »
Quand le policier fut partit Julie se tourna vers Gilles et lui dit :
« -Comment on fait pour arrêter Alex ?
-On voit que c’est lui grâce à ce qu’on a prévu, puis on lui passe les menottes, toi Henri tu lui expliquera comment on a trouvé que c’était lui et toi Julie tu iras calmer Mademoiselle D’Estranie. Ok ? »
Henri et Julie opinèrent de la tête.
« -Bon on va voir si ça avance avec Mademoiselle D’Estranie. dit le commissaire Hedborn.
Ils entrèrent dans la pièce. Elodie était assise sur une chaise. Elle se tenait les mains et semblait sur le point de pleurer.
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Message par Invité Dim 21 Déc - 2:23

J'adoooooooooooooooooooooore!!!


cheers Bravo ma Best!! drunken bom
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Message par Invité Dim 21 Déc - 14:17

Oh merciiii c'est super gentil !!! bizzz my best ♥
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Message par Invité Dim 21 Déc - 15:10

Moi j'aime !! Laisse moi deviner, c'est Ayinde qui a posté pas assez ?
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Message par Invité Dim 21 Déc - 16:40

Non ce n 'est pas moi qui a posté pas assez!!
C'est pas bien d'accuser!!! Evil or Very Mad
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Message par Invité Dim 21 Déc - 16:42

Merci Eleonor, je me demande qui a posté ça ... nan je lOol c'est moi !!! bizzz♥
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