Matinée promenade (libre)

Le soleil était haut dans le ciel quand il ouvrit les yeux. Son réveil n'avait pas sonné. Et pour cause! Il ne le mettait plus en marche depuis un moment, la plus part des cours étant purement est simplement annulé. Lorsqu'il ouvrit les yeux, le jeune cerconor vit que les autre avait déserté. Un sourire moqueur ce dessina sur son visage.

*Ces utopistes...*

Il s'étira puis d'un mouvement brusque se leva, direction la salle de bain. Là, il enleva son pyjama et se glissa sous la douche. Le reste est censuré. . Une fois propre il sorti et s'enveloppa dans sa serviette avant de retourner dans le dortoir pour s'habiller. Son uniforme impeccablement repassé était pendu sur un cintre. Une fois près, il pris sa verste et son éternelle écharpe, puis se rendit à la sortie du château, espérant faire une excursion à Bella villa pour la matinée.

Le château, comme le parc, fourmillé du peu d'élèves qui restait. Tous, où presque trainé sans grand but. Il ne pris même pas la peine de les étudier, ils importait peu. Une fois devant le portail, il ralenti l'allure. Apparemment il n'était pas le seul à avoir eu l'idée de fuir l'académie pour la matinée.Non loin de lui une jolie blonde attendait la navette.

"Alors toi aussi tu fais l'école buissonnière?"

La jeune fille commencé à s'impatienter, la navette avait du retard. Où diable était-elle? Jenny faisait les cent pas pour tromper son ennui quand elle se fit accoster. Elle leva les yeux au ciel, décidément elle ne voulait voir personne finalement. Au pris d'un gros effort, la jeune falconia se retourna. La elle du se maitriser pour ne pas montrer sa stupeur. C'est le jeune cerconor, dont tous ignorait l'identité. Se rappelant se que lui avait dit la directrice, Johanne décida de rentrer dans son jeu.

*Courage!*

"Je ne fais pas l'école buissonnière, puisqu'il n'y a pas cours. Alors comme ça toi aussi tu as eu envie de changer d'air?"

La jeune fille souriait, il n'était pas désagréable à regarder. Même si elle ne savait pas qui il était, elle sentait qu'elle devait se méfier quand même.

La jeune fille semblait sur ses gardes, il sourit. Cela faisait tellement longtemps qu’il ne c’était retrouvé seul avec une jeune fille. La navette arriva bientôt devant eux. Dans un élan de galanterie, il s’avança et lui ouvrit la porte pour qu’elle puisse s’y installa la première. Le jeune homme entra à sa suite et se cala confortablement sur le siège. La voiture se remis en marche, et le paysage se vit à défiler par la fenêtre. Il venait de partir lorsque la jeune fille lui posa une question, qui n’avait rien d’anodin. Elle avait remarqué qu’il était arrivé il y a peu de temps. Il se mit à réfléchir très vite.

« - Oui, je suis arrivé cette année. Je viens d’une école suisse. Mais mes parent on déménagé prêt d’ici, et il on trouvaient intéressant que je vienne à Beauxbatons.»

Il regarda à nouveau part la fenêtre. C’était un mensonge bien sur, mais il ne fallait surtout pas qu’elle le découvre. Il enchaîna sur quelque chose de plus léger.

« - Alors, tu vas faire quoi à Bella Villa? »

C’était une question puérile, mais il la posa d’un air intéressé et enjoué, alors qu’il s’en fichait au plus au point. Et attendit.

Elle comptait faire les boutique, rien que le fait d'y penser, lui donnait la chair de poule. Mais qu'est-ce qui leur plaisait au fille de faire les magasin, des heures durant, à essayer des tonnes de vêtement, de chaussure et autre accessoire, sous l'air climatisé ou surchauffé de ses petits magasins, qui pour la plus part, était surchauffé. Décidément, il ne les comprendrait jamais. Bien que très réticent, le jeune cerconor, n'en laissa rien paraitre. Galant, il descendit le premier de la voiture, et tien la portière à la jolie blonde, devant le regard effaré du chauffeur. Il lui sourit poliment et se retourna vers Johanne qui réajustait son vêtement.

-Je suis juste venue flâner, pour passer le temps en fait.

Il marque une courte pause, et se passa la main dans les cheveux, il semblait réfléchir.

-Si tu es d'accord, je veux bien t'accompagner pour faire tes achats.

Il dit cela de façon complétement désinvolte, essayant de cacher son anxiété, à l'idée d'entrer dans une de ces boutique et compta sur le fait, qu'elle changerait d'avis.